Les Domaines Chandos-Penthièvre
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kilia

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MessageSujet: carte   carte Icon_minitimeMer 25 Avr - 23:35

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kilia

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MessageSujet: Re: carte   carte Icon_minitimeJeu 26 Avr - 0:20

Traité de paix Anjou/Royaume de France




Nous, SM Levan III de Normandie, Roy de France par la grâce du Tout Puissant,

Nous, Kilia, Duchesse d’Anjou par la grâce du Tout Puissant et le consentement de son peuple,

Au Nom de Dieu, des prophètes et de tous les Saints.

Qu'il soit notoire à tous et à chacun à qui il appartient, ou en quelque manière que ce soit, il pourra appartenir, qu'après que les divisions et les troubles, commencés depuis plusieurs années entre la couronne de France et le duché D’Anjou, eurent crû jusqu'au point que tout le royaume de France s'y soit trouvé tellement enveloppé, qu'il en est né de là une longue et rude guerre. D'où s'en est suivie une grande effusion du sang Aristotélicien, et la désolation de plusieurs Provinces:

Enfin il serait arrivé par un effet de la bonté Divine, que l'on aurait tourné de part et d'autre ses pensées aux moyens de faire la Paix, et que par une convention mutuelle faite à Angers. Entre les parties, d'un commun accord pour commencer l'assemblée des Plénipotentiaires,

Ensuite de quoi les Ambassadeurs Plénipotentiaires légitimement établis de part et d'autre ayant comparu, au temps et au lieu nommé; à savoir de la part du Roy de France, le Grand Maitre de France, Juliano Di Juliani, le Connétable de France, le Baron Vinkolat et le Duc de Bourbon Auvergne, le Duc Tixlu. Et de la part du duché d’Anjou, part Vadikura et le Duc Beucheumeu.
Ils ont transigé et accordé entre eux à la gloire de Dieu, et au salut de la cité divine et universelle, les articles de Paix et d'Amitié, dont la teneur s’ensuivent.



Article 1 : De la paix.


En ratifiant le présent traité, les signataires annoncent mettre fin à la guerre opposant l'Anjou à la Couronne de France.



Article 2 : Du Duché d'Anjou.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, reconnaît par la présente le Duché d'Anjou en tant que duché du Royaume de France à statut spécial « d'avant-garde », tel que définit dans les points suivants.

Le Duché d'Anjou reconnaît son appartenance au Royaume de France sous statut spécial « d'avant-garde », statut visant à asseoir la coopération entre ledit Duché et la couronne de France. L'Anjou reconnaît par la présente les institutions royales.



Article 3 : De l’appartenance au Royaume de France.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, confirme par la présente l'autorité du Duc d'Anjou et de son conseil élu dans le duché Anjou, à l'instar des autres provinces du Royaume de France et en respect avec les points contenus dans le présent traité.

Chaque Duc d’Anjou nouvellement élu, en tant que suzerains d’une province du Royaume de France, est tenu de prêter allégeance à la Couronne de France, afin de confirmer l’appartenance du duché d’Anjou au Royaume de France.
Le défaut de renouvellement de cette allégeance serait considéré comme félonie envers le Royaume de France.



Article 4 : De l'autorité du Conseil d'Anjou.


Le Conseil élu d'Anjou dispose des terres d’Anjou, dont le duc est suzerain, et gère les infrastructures ducales. Il est également habilité à édicter droit local, tant qu’il ne contrevient pas au droit royal.



article 5 De l'armée d'Anjou.

En matière militaire, le Duc d'Anjou et son Conseil sont libres de leur choix, à l'instar des autres Ducs/Comtes du Royaume de France, exceptions faites de ceux du Domaine Royal.

Le Duc d'Anjou et son Conseil s'engagent à lever l'armée d'anjou pour l'Ost Royal et assister la Couronne de France si elle est impliquée dans un conflit située avec région située hors de la Carte officielle (annexe1).
En cas de conflit autre, l'Anjou n'est point obligée de se joindre à l'Ost Royal. l'Anjou se réserve le droit d'honorer ses traités dans leur entièreté
En cas d'intervention militaire de l'Anjou pour soutenir l'effort de guerre de la Couronne française, le roy s'engage à financer l'intervention des troupes angevines au même titre que celles des autres provinces du Royaume de France.



Article 6 : Du statut « d’avant-garde ».


Afin de rompre avec les divisions et les troubles qui ont fait naître le présent conflit et renouer les liens d’amitié et de concorde entre le duché d’Anjou et la Couronne de France, et comprenant que cela ne peut se faire que dans une mutuelle confiance, et se faisant par le biais d’une réforme des institutions royales, la Couronne de France consent à entamer une décentralisation et une déconcentration des organes royaux de la Cour d’Appel Royale et la Hérauderie Royale.

A ce titre, le Duché d’Anjou sera la province pionnière en la matière en recevant le statut « d’avant-garde ».

Les projets de réforme de la Cour d’Appel Royale et de la Hérauderie seront mis en application dans le duché d’Anjou.
Dès lors que les projets seront arrivés à maturation et fonctionneront, ils auront vocation à s’étendre dans toutes les provinces du Royaume de France.

Les projets seront mis conjointement en place et évolueront selon les éventuels problèmes rencontrés avec la coopération entre officiers des institutions royales et ducales angevine, qui devront trouver des solutions à ceux-ci sans trahir l’esprit du présent traité.

La Couronne de France mettra à disposition de l'Anjou s'il le désire des émissaires de l'hérauderie Royale ainsi que de la Cour d'Appel Royale afin de prêter assistance à la mise en place des relais régionaux prévus par ce traité.



Article 7 : Du projet de réforme de la Cour d’Appel Royale.


Le Duché d’Anjou recevra licence afin de mettre en place une Cour d’Appel locale propre à juger en deuxième instance, dite « en appel », les jugements en première instance s’étant déroulés sur leurs terres ; selon les modalités prévues en annexe.

La Cour d’appel Royale pourra être saisie en troisième instance, comme Cour Suprême de Justice Royale. La Cour d’appel Royale aura alors compétence pour juger les pourvois contre les décisions prononcées par la cour d’appel d’Anjou en matière de droit royal et de jurisprudence, ainsi que de vérifier la validité des verdicts devant respecter la « Charte du Juge ».



Article 8 : Du projet de réforme de la Hérauderie.

Le Duc d'Anjou et son Conseil reconnaissent la Hérauderie royale comme institution dont le rôle, outre le recensement et la gestion héraldique ainsi que de la confection du blasonnement, est aussi de valider les dossiers d'anoblissement afin de garantir la reconnaissance équivalente des mérites nobiliaires de par le Royaume de France.

Le duché d’Anjou est encouragé à constituer une Assemblée de la Noblesse d’Anjou qui dans le cadre de son rôle de conseil auprès du Duc d'Anjou aura vocation à l'aider à constituer les dossiers de demande en anoblissement comme suggeré par l'Hérauderie Royale.
Dans une situation où l’Assemblée de la Noblesse d’Anjou observe un cas pouvant être susceptible d’être mené devant les tribunaux héraldiques, elle pourra constituer un dossier qui sera transmis aux dits tribunaux héraldiques, qui auront pour obligation de l'instruire.

Article 9 : De la justice de guerre.


Une amnistie générale est octroyée à toutes les personnes ayant pris les armes contre la Couronne de France lors de la guerre à laquelle ce traité met fin.

Sont exclues de cette amnistie les personnes coupables de délits durant la période d'occupation de l'Anjou par les troupes royales et mises en procès, qu'elles soient angevines ou membres des armées royalistes.

Les procès dirigés contre les membres du Conseil provisoire d'occupation de l'Anjou et contre les dignitaires du Royaume de France devront être annulés sans préjudices pour eux et ceux-ci rendront mandat gardé en leur sein sous peine de nouvelle mise en procés.



Article 11 : Du retrait des troupes.


A la signature de ce traité, les armées royales quitteront les terres d'Anjou. Seule une lance Royale sera stationnée à Angers pendant 1 mois, sans interférer avec le pouvoir Angevin.





Pour la Couronne de France

Juliano Di Juliani, Grand Maitre de France

Issu des négociations :

Pour le Royaume de France :
Vinkolat, Grand Connétable de France
Tixlu, Duc du Bourbonnais Auvergne, Grand Feudataire du Royaume de France

Pour l'Anjou
Vadikura
Beucheumeu.


Pour que cela demeure ratifié et stable à l’avenir, nous avons fait apposer nos sceaux au présent concordat.

[Différents sceaux.]

Annexe :

Concerne la réforme de la CA.
Quelques principes qu’il faudra observer et les modalités.

Tel que la structure, la nomination des officiers de la CA locale, les compétences de chacune, les relations, etc.
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kilia

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MessageSujet: Re: carte   carte Icon_minitimeJeu 26 Avr - 0:35

Traité de paix Anjou/Royaume de France




Nous, SM Levan III de Normandie, Roy de France par la grâce du Tout Puissant,

Nous, Kilia, Duchesse d’Anjou par la grâce du Tout Puissant et le consentement de son peuple,

Au Nom de Dieu, des prophètes et de tous les Saints.

Qu'il soit notoire à tous et à chacun à qui il appartient, ou en quelque manière que ce soit, il pourra appartenir, qu'après que les divisions et les troubles, commencés depuis plusieurs années entre la couronne de France et le duché D’Anjou, eurent crû jusqu'au point que tout le royaume de France s'y soit trouvé tellement enveloppé, qu'il en est né de là une longue et rude guerre. D'où s'en est suivie une grande effusion du sang Aristotélicien, et la désolation de plusieurs Provinces:

Enfin il serait arrivé par un effet de la bonté Divine, que l'on aurait tourné de part et d'autre ses pensées aux moyens de faire la Paix, et que par une convention mutuelle faite à Angers. Entre les parties, d'un commun accord pour commencer l'assemblée des Plénipotentiaires,

Ensuite de quoi les Ambassadeurs Plénipotentiaires légitimement établis de part et d'autre ayant comparu, au temps et au lieu nommé; à savoir de la part du Roy de France, le Grand Maitre de France, Juliano Di Juliani, le Connétable de France, le Baron Vinkolat et le Duc de Bourbon Auvergne, le Duc Tixlu. Et de la part du duché d’Anjou, part Vadikura et le Duc Beucheumeu.
Ils ont transigé et accordé entre eux à la gloire de Dieu, et au salut de la cité divine et universelle, les articles de Paix et d'Amitié, dont la teneur s’ensuivent.



Article 1 : De la paix.


En ratifiant le présent traité, les signataires annoncent mettre fin à la guerre opposant l'Anjou à la Couronne de France.



Article 2 : Du Duché d'Anjou.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, reconnaît par la présente le Duché d'Anjou en tant que duché du Royaume de France à statut spécial « d'avant-garde », tel que définit dans les points suivants.

Le Duché d'Anjou reconnaît son appartenance au Royaume de France sous statut spécial « d'avant-garde », statut visant à asseoir la coopération entre ledit Duché et la couronne de France. L'Anjou reconnaît par la présente les institutions royales.



Article 3 : De l’appartenance au Royaume de France.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, confirme par la présente l'autorité du Duc d'Anjou et de son conseil élu dans le duché Anjou, à l'instar des autres provinces du Royaume de France et en respect avec les points contenus dans le présent traité.

Chaque Duc d’Anjou nouvellement élu, en tant que suzerains d’une province du Royaume de France, est tenu de prêter allégeance à la Couronne de France, afin de confirmer l’appartenance du duché d’Anjou au Royaume de France.
Le défaut de renouvellement de cette allégeance serait considéré comme félonie envers le Royaume de France.



Article 4 : De l'autorité du Conseil d'Anjou.


Le Conseil élu d'Anjou dispose des terres d’Anjou, dont le duc est suzerain, et gère les infrastructures ducales. Il est également habilité à édicter droit local, tant qu’il ne contrevient pas au droit royal.



article 5 De l'armée d'Anjou.

En matière militaire, le Duc d'Anjou et son Conseil sont libres de leur choix, à l'instar des autres Ducs/Comtes du Royaume de France, exceptions faites de ceux du Domaine Royal.

Le Duc d'Anjou et son Conseil s'engagent à lever l'armée d'anjou pour l'Ost Royal et assister la Couronne de France si elle est impliquée dans un conflit située avec région située hors de la Carte officielle (annexe1).
En cas de conflit autre, l'Anjou n'est point obligée de se joindre à l'Ost Royal. l'Anjou se réserve le droit d'honorer ses traités dans leur entièreté
En cas d'intervention militaire de l'Anjou pour soutenir l'effort de guerre de la Couronne française, le roy s'engage à financer l'intervention des troupes angevines au même titre que celles des autres provinces du Royaume de France.



Article 6 : Du statut « d’avant-garde ».


Afin de rompre avec les divisions et les troubles qui ont fait naître le présent conflit et renouer les liens d’amitié et de concorde entre le duché d’Anjou et la Couronne de France, et comprenant que cela ne peut se faire que dans une mutuelle confiance, et se faisant par le biais d’une réforme des institutions royales, la Couronne de France consent à entamer une décentralisation et une déconcentration des organes royaux de la Cour d’Appel Royale et la Hérauderie Royale.

A ce titre, le Duché d’Anjou sera la province pionnière en la matière en recevant le statut « d’avant-garde ».

Les projets de réforme de la Cour d’Appel Royale et de la Hérauderie seront mis en application dans le duché d’Anjou.
Dès lors que les projets seront arrivés à maturation et fonctionneront, ils auront vocation à s’étendre dans toutes les provinces du Royaume de France.

Les projets seront mis conjointement en place et évolueront selon les éventuels problèmes rencontrés avec la coopération entre officiers des institutions royales et ducales angevine, qui devront trouver des solutions à ceux-ci sans trahir l’esprit du présent traité.

La Couronne de France mettra à disposition de l'Anjou s'il le désire des émissaires de l'hérauderie Royale ainsi que de la Cour d'Appel Royale afin de prêter assistance à la mise en place des relais régionaux prévus par ce traité.



Article 7 : Du projet de réforme de la Cour d’Appel Royale.


Le Duché d’Anjou recevra licence afin de mettre en place une Cour d’Appel locale propre à juger en deuxième instance, dite « en appel », les jugements en première instance s’étant déroulés sur leurs terres ; selon les modalités prévues en annexe.

La Cour d’appel Royale pourra être saisie en troisième instance, comme Cour Suprême de Justice Royale. La Cour d’appel Royale aura alors compétence pour juger les pourvois contre les décisions prononcées par la cour d’appel d’Anjou en matière de droit royal et de jurisprudence, ainsi que de vérifier la validité des verdicts devant respecter la « Charte du Juge ».



Article 8 : Du projet de réforme de la Hérauderie.

Le Duc d'Anjou et son Conseil reconnaissent la Hérauderie royale comme institution dont le rôle, outre le recensement et la gestion héraldique ainsi que de la confection du blasonnement, est aussi de valider les dossiers d'anoblissement afin de garantir la reconnaissance équivalente des mérites nobiliaires de par le Royaume de France.

Le duché d’Anjou est encouragé à constituer une Assemblée de la Noblesse d’Anjou qui dans le cadre de son rôle de conseil auprès du Duc d'Anjou aura vocation à l'aider à constituer les dossiers de demande en anoblissement comme suggeré par l'Hérauderie Royale.
Dans une situation où l’Assemblée de la Noblesse d’Anjou observe un cas pouvant être susceptible d’être mené devant les tribunaux héraldiques, elle pourra constituer un dossier qui sera transmis aux dits tribunaux héraldiques, qui auront pour obligation de l'instruire.

Article 9 : De la justice de guerre.


Une amnistie générale est octroyée à toutes les personnes ayant pris les armes ou s'étant opposé à la Couronne de France lors de la guerre à laquelle ce traité met fin.

Sont exclues de cette amnistie les personnes coupables de délits durant la période d'occupation de l'Anjou par les troupes royales et mises en procès, qu'elles soient angevines ou membres des armées royalistes.

Les procès dirigés contre les membres du Conseil provisoire d'occupation de l'Anjou et contre les dignitaires du Royaume de France devront être annulés sans préjudices pour eux et ceux-ci rendront mandat gardé en leur sein sous peine de nouvelle mise en procés.



Article 11 : Du retrait des troupes.


A la signature de ce traité, les armées royales quitteront les terres d'Anjou. Seule une lance Royale sera stationnée à Angers pendant 1 mois, sans interférer avec le pouvoir Angevin.





Pour la Couronne de France

Juliano Di Juliani, Grand Maitre de France

Issu des négociations :

Pour le Royaume de France :
Vinkolat, Grand Connétable de France
Tixlu, Duc du Bourbonnais Auvergne, Grand Feudataire du Royaume de France

Pour l'Anjou
Vadikura
Beucheumeu.


Pour que cela demeure ratifié et stable à l’avenir, nous avons fait apposer nos sceaux au présent concordat.

[Différents sceaux.]

Annexe :

Concerne la réforme de la CA.
Quelques principes qu’il faudra observer et les modalités.

Tel que la structure, la nomination des officiers de la CA locale, les compétences de chacune, les relations, etc.
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kilia

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MessageSujet: Re: carte   carte Icon_minitimeJeu 26 Avr - 0:56

Citation :
Traité de paix Anjou/Royaume de France




Nous, SM Levan III de Normandie, Roy de France par la grâce du Tout Puissant,

Nous, Kilia, Duchesse d’Anjou par la grâce du Tout Puissant et le consentement de son peuple,

Au Nom de Dieu, des prophètes et de tous les Saints.

Qu'il soit notoire à tous et à chacun à qui il appartient, ou en quelque manière que ce soit, il pourra appartenir, qu'après que les divisions et les troubles, commencés depuis plusieurs années entre la couronne de France et le duché D’Anjou, eurent crû jusqu'au point que tout le royaume de France s'y soit trouvé tellement enveloppé, qu'il en est né de là une longue et rude guerre. D'où s'en est suivie une grande effusion du sang Aristotélicien, et la désolation de plusieurs Provinces:

Enfin il serait arrivé par un effet de la bonté Divine, que l'on aurait tourné de part et d'autre ses pensées aux moyens de faire la Paix, et que par une convention mutuelle faite à Angers. Entre les parties, d'un commun accord pour commencer l'assemblée des Plénipotentiaires,

Ensuite de quoi les Ambassadeurs Plénipotentiaires légitimement établis de part et d'autre ayant comparu, au temps et au lieu nommé; à savoir de la part du Roy de France, le Grand Maitre de France, Juliano Di Juliani, le Connétable de France, le Baron Vinkolat et le Duc de Bourbon Auvergne, le Duc Tixlu. Et de la part du duché d’Anjou, part Vadikura et le Duc Beucheumeu.
Ils ont transigé et accordé entre eux à la gloire de Dieu, et au salut de la cité divine et universelle, les articles de Paix et d'Amitié, dont la teneur s’ensuivent.



Article 1 : De la paix.


En ratifiant le présent traité, les signataires annoncent mettre fin à la guerre opposant l'Anjou à la Couronne de France.



Article 2 : Du Duché d'Anjou.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, reconnaît par la présente le Duché d'Anjou en tant que duché du Royaume de France à statut spécial « d'avant-garde », tel que définit dans les points suivants.

Le Duché d'Anjou reconnaît son appartenance au Royaume de France sous statut spécial « d'avant-garde », statut visant à asseoir la coopération entre ledit Duché et la couronne de France. L'Anjou reconnaît par la présente les institutions royales.



Article 3 : De l’appartenance au Royaume de France.


Le Roy de France, en la personne du Grand Maître de France Juliano di Juliani, confirme par la présente l'autorité du Duc d'Anjou et de son conseil élu dans le duché Anjou, à l'instar des autres provinces du Royaume de France et en respect avec les points contenus dans le présent traité.

Chaque Duc d’Anjou nouvellement élu, en tant que suzerains d’une province du Royaume de France, est tenu de prêter allégeance à la Couronne de France, afin de confirmer l’appartenance du duché d’Anjou au Royaume de France.
Le défaut de renouvellement de cette allégeance serait considéré comme félonie envers le Royaume de France.



Article 4 : De l'autorité du Conseil d'Anjou.


Le Conseil élu d'Anjou dispose des terres d’Anjou, dont le duc est suzerain, et gère les infrastructures ducales. Il est également habilité à édicter droit local, tant qu’il ne contrevient pas au droit royal.



article 5 De l'armée d'Anjou.

En matière militaire, le Duc d'Anjou et son Conseil sont libres de leur choix, à l'instar des autres Ducs/Comtes du Royaume de France, exceptions faites de ceux du Domaine Royal.

Le Duc d'Anjou et son Conseil s'engagent à lever l'armée d'anjou pour l'Ost Royal et assister la Couronne de France si elle est impliquée dans un conflit située avec région située hors de la Carte officielle (annexe1).
En cas de conflit autre, l'Anjou n'est point obligée de se joindre à l'Ost Royal. l'Anjou se réserve le droit d'honorer ses traités dans leur entièreté
En cas d'intervention militaire de l'Anjou pour soutenir l'effort de guerre de la Couronne française, le roy s'engage à financer l'intervention des troupes angevines au même titre que celles des autres provinces du Royaume de France.



Article 6 : Du statut « d’avant-garde ».


Afin de rompre avec les divisions et les troubles qui ont fait naître le présent conflit et renouer les liens d’amitié et de concorde entre le duché d’Anjou et la Couronne de France, et comprenant que cela ne peut se faire que dans une mutuelle confiance, et se faisant par le biais d’une réforme des institutions royales, la Couronne de France consent à entamer une décentralisation et une déconcentration des organes royaux de la Cour d’Appel Royale et la Hérauderie Royale.

A ce titre, le Duché d’Anjou sera la province pionnière en la matière en recevant le statut « d’avant-garde ».

Les projets de réforme de la Cour d’Appel Royale et de la Hérauderie seront mis en application dans le duché d’Anjou.
Dès lors que les projets seront arrivés à maturation et fonctionneront, ils auront vocation à s’étendre dans toutes les provinces du Royaume de France.

Les projets seront mis conjointement en place et évolueront selon les éventuels problèmes rencontrés avec la coopération entre officiers des institutions royales et ducales angevine, qui devront trouver des solutions à ceux-ci sans trahir l’esprit du présent traité.

La Couronne de France mettra à disposition de l'Anjou s'il le désire des émissaires de l'hérauderie Royale ainsi que de la Cour d'Appel Royale afin de prêter assistance à la mise en place des relais régionaux prévus par ce traité.



Article 7 : Du projet de réforme de la Cour d’Appel Royale.


Le Duché d’Anjou recevra licence afin de mettre en place une Cour d’Appel locale propre à juger en deuxième instance, dite « en appel », les jugements en première instance s’étant déroulés sur leurs terres ; selon les modalités prévues en annexe.

La Cour d’appel Royale pourra être saisie en troisième instance, comme Cour Suprême de Justice Royale. La Cour d’appel Royale aura alors compétence pour juger les pourvois contre les décisions prononcées par la cour d’appel d’Anjou en matière de droit royal et de jurisprudence, ainsi que de vérifier la validité des verdicts devant respecter la « Charte du Juge ».



Article 8 : Du projet de réforme de la Hérauderie.

Le Duc d'Anjou et son Conseil reconnaissent la Hérauderie royale comme institution dont le rôle, outre le recensement et la gestion héraldique ainsi que de la confection du blasonnement, est aussi de valider les dossiers d'anoblissement afin de garantir la reconnaissance équivalente des mérites nobiliaires de par le Royaume de France.

Le duché d’Anjou est encouragé à constituer une Assemblée de la Noblesse d’Anjou qui dans le cadre de son rôle de conseil auprès du Duc d'Anjou aura vocation à l'aider à constituer les dossiers de demande en anoblissement comme suggeré par l'Hérauderie Royale.
Dans une situation où l’Assemblée de la Noblesse d’Anjou observe un cas pouvant être susceptible d’être mené devant les tribunaux héraldiques, elle pourra constituer un dossier qui sera transmis aux dits tribunaux héraldiques, qui auront pour obligation de l'instruire.

Article 9 : De la justice de guerre.


Une amnistie générale est octroyée à toutes les personnes ayant pris les armes ou s'étant opposé à la Couronne de France lors de la guerre à laquelle ce traité met fin.

Sont exclues de cette amnistie les personnes coupables de délits durant la période d'occupation de l'Anjou par les troupes royales et mises en procès, qu'elles soient angevines ou membres des armées royalistes.

Les procès dirigés contre les membres du Conseil provisoire d'occupation de l'Anjou et contre les dignitaires du Royaume de France devront être annulés sans préjudices pour eux et ceux-ci rendront mandat gardé en leur sein sous peine de nouvelle mise en procés.



Article 11 : Du retrait des troupes.


A la signature de ce traité, les armées royales quitteront les terres d'Anjou. Seule une lance Royale sera stationnée à Angers pendant 1 mois, sans interférer avec le pouvoir Angevin.


Pour que cela demeure ratifié et stable à l’avenir, nous avons fait apposer nos sceaux au présent concordat.



Pour la Couronne de France

Juliano Di Juliani, Grand Maitre de France

Issu des négociations :

Pour le Royaume de France :
Vinkolat, Grand Connétable de France
Tixlu, Duc du Bourbonnais Auvergne, Grand Feudataire du Royaume de France

Pour l'Anjou
Vadikura
Beucheumeu
Kilia Duchesse d'Anjou




Annexe :

Annexe I, la Carte
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kilia

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MessageSujet: Re: carte   carte Icon_minitimeJeu 26 Avr - 2:53

ANNEXE 1:
(Je sais un peu grande mais pas le courage de refaire)


http://kikteo.free.fr/RR2/carteROUGE1.jpg

carte CarteROUGE1
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MessageSujet: Re: carte   carte Icon_minitime

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